[Test] Narcopolis – Aurez-vous les épaules solides pour devenir le Boss de la ville ?

2 – 5 joueursAmaury Montmoreau
14 ans et +Hadrien de Visme
20 minutes par joueurOpen World Editions
Contrôle de territoire
Bluff
Stratégie
Neoludis
Février 2022 Combats de gangs
Business et réputation
Corrucption
PVC : 48€ et dans

Narcopolis est un jeu sur lequel nous ne nous sommes pas penchés à sa sortie, tout d’abord car cela ne nous semblait absolument pas être notre style de jeu au premier abord.

Après plusieurs parties, ce n’est effectivement toujours pas notre style de jeu !

Pour autant ! Cela ne devrait pas nous empêcher d’en faire une critique constructive, avec d’un côté des caractéristiques objectives intéressantes sur le jeu, et de l’autre nos avis subjectifs de joueurs qui restent globalement le mitigés même si certains aspects du jeu se sont révélés plutôt chouettes !

Dans l’ensemble, Narcopolis, qu’est-ce que c’est ? Un jeu d’enfoirés pur et simple.

Nous exagérons peut être légèrement, mais c’est vrai que c’est quelque chose qui nous a particulièrement marqués lors des parties ; il devrait y avoir un avertissement au début du livret de règles stipulant : « Attention, dangereux pour la santé des mauvais joueurs » !

Dans Narcopolis, vous incarnez un Wiseguy, autrement dit un homme ou une femme du terrain, qui se bat dans le but de devenir le nouveau Boss de la ville de Narcopolis.

Pour cela rien de plus simple, il faudra vous installer aux quatre coins de la ville, implanter et développer vos business, et surtout démolir ceux des autres, afin d’obtenir un maximum de points de Réputation !

Qu’est ce qu’on trouve dans la boîte ?

  • 5 pions Personnage
  • 58 cartes Job (dont 10 niveau avancé)
  • 5 plateaux joueur
  • 8 jetons « Corruption police »
  • 5 pions Réputation
  • 45 cartes Influence (10 différentes)
  • 6 cartes Rôle
  • 10 jetons « Quartier bloqué »
  • 75 billets de banque
  • 30 cartes Evènement (dont 10 version deux joueurs)
  • 8 cartes Armement
  • 2 jetons « Corruption Mairie »
  • 30 jetons Business « Armes » (6 par couleur)
  • 30 jetons Business « Bordels » (6 par couleur)
  • 30 jetons Business « Casinos » (6 par couleur)
  • 30 jetons Business « Drogues » (6 par couleur)
  • 1 jeton « Premier joueur »
  • 3 dés et un gobelet

Comment on joue à Narcopolis ?

Avant de lancer une partie de Narcopolis, les joueurs procèdent en premier lieu à la mise en place du jeu, en commençant par installer le plateau principal au centre de la table, ainsi que le matériel nécessaire à la partie tout autour.

Chaque joueur choisit ensuite son personnage et prend ainsi le matériel correspondant à sa couleur, ainsi que son plateau personnel, ses cartes et ses billets de début de partie.

Ils posent enfin tous leur pion réputation sur la case 5 de la piste des scores, et la partie peut commencer !

Le tour de jeu

Une partie de Narcopolis se joue en une succession de tours, jusqu’à ce que l’une des conditions de fin de partie soit déclenchée.

Le but du jeu étant d’être le joueur ayant obtenu le plus de points de Réputation à la fin de la partie, voici les 3 manière d’en gagner : effectuer des jobs (cartes Job), exercer de l’influence (cartes Influence), ou encore faire du Mécénat en achetant ses points de Réputation.

Les joueurs jouent à tour de rôle dans le sens des aiguilles d’une montre. Au début de chaque tour de jeu, le premier joueur retourne une carte Evènement, qui aura une influence sur un aspect du jeu lors de ce tour, et ce jusqu’à la prochaine carte Evènement dévoilée.

Le tour d’un joueur se déroule en deux phases, la première consistant à prendre ses Recettes, dont le montant dépend de l’état de son plateau individuel (plus il a implanté de business, plus il gagnera de recettes).

La seconde phase contient un certain nombre d’actions, qu’il est possible de faire une unique fois, 2/3 fois, ou bien autant que souhaité selon ce qui est indiqué. Parmi celles-ci :

  • Se déplacer : le joueur peut déplacer son pion personnage où il le souhaite sur la carte du plateau principal, tant qu’il ne le déplace pas sur un lieu contenant un pion personnage adverse.
  • Prendre position : lorsque le joueur déplace son pion personnage sur un lieu, soit ce dernier est occupé par des business adverses auquel cas il déclenche un combat, soit le lieu est libre auquel cas il y implante un business de son choix.
  • Gérer ses business : le joueur actif peut développer un business (2 maximum par tour) dans un quartier qu’il exploite, sans forcément avoir déplacé son pion personnage dessus. Il peut également démanteler l’un de ses quartier en enlevant tous ses business implantés dessus.
  • Gérer son Influence : le joueur actif peut jouer une carte Influence en payant son coût, elle impacte ainsi un ou des joueur(s) adverse(s), ou bien sa propre situation. Il peut également acheter une nouvelle carte Influence et la placer dans sa main.
  • Gérer ses Jobs : le joueur actif peut effectuer des jobs (maximum 3 par tour, et uniquement durant son tour de jeu). Chaque joueur possède des cartes Job avec des objectifs à remplir, et le joueur actif peut défausser sa carte lorsqu’il en a rempli un, et gagner les points de Réputation correspondants en récompense. Il est également possible de payer pour défausser des cartes Job et en piocher des nouvelles.
  • Gérer sa Réputation : le joueur actif peut dépenser de l’argent afin de gagner des points de réputation (plus possible à 16 points de Réputation ou plus), ou bien au contraire perdre des points de Réputation afin de gagner de l’argent.

Certains éléments sont à préciser pour le bon déroulement de la partie :

  • La prison : les cartes Influence « Balance » permettent d’envoyer un joueur adverse en prison, ce qui impactera son prochain tour en l’empêchant de se déplacer (il pourra effectuer le reste de son tour normalement et toucher ses recettes).
  • Les combats : lorsque le joueur actif se déplace sur un quartier contenant des business adverses, il déclenche un combat (en payant un coût). S’il sort gagnant du combat, il remplace tous les business adverses par les siens à l’identique. Si au contraire il perd, aucun mouvement n’a lieu.
    Les combats se déroulent systématiquement de la manière suivante : l’attaquant prend les trois dés et le gobelet, et les remue à l’intérieur.
    Il les regarde et annonce un résultat (entre 111 et 666) ; si le joueur adverse pense qu’il bluffe, il vérifie les dés (celui qui a raison l’emporte).
    Si au contraire le défenseur veut continuer le combat, il effectue exactement la même action avec le gobelet et les dés, et doit annoncer un nombre supérieur au précédent.
    Le combat continue ainsi jusqu’à ce que l’un des joueurs annonce que l’autre bluffe, et que l’issue du combat soit donnée.
La fin de partie

La fin de partie peut être déclenchée de deux manières dans Narcopolis : soit la dixième carte Evènement a été dévoilée (auquel car on effectue le dernier tour de jeu) ; soit un joueur atteint 20 points de Réputation ou plus (auquel cas on termine le tour en cours également).

Le gagnant est celui qui possède le plus grand nombre de points de Réputation, il est ainsi nommé Boss à la tête de la ville de Narcopolis !

Design

Le design nous a semblé initialement plutôt sympa ! Un côté rétro, des couleurs voyantes qui se distinguent bien, une police d’écriture et des designs plutôt originaux…

L’iconographie du jeu n’est pas spécialement intuitive, mais en soi pas spécialement nécessaire non plus, puisque tout est généralement expliqué par du texte, et elle s’apprend assez rapidement.

Donc de manière globale, nous aurions presque pu aimer ce design de jeu… mais une fois la boite ouverte nous avons été assez déçus.

Autant nous apprécions les jeux à humour noir, qui sont assez atypiques, et généralement bien tournés pour rester drôles sans que cela prenne le dessus sur le plaisir de jeu.

Autant ici, c’est une forme d’humour qui ne nous a pas parlé, et que nous avons même trouvée vulgaire et ringarde par moments.

Une nouvelle fois, ce sont des mots durs mais purement subjectifs.

Les illustrations sont en plus réussies, nous n’avons seulement pas aimé ce qu’elles représentent, et au-delà de ça ce qu’elles dégagent une fois le jeu installé sur la table…

C’est donc un avis plutôt moyen que nous portons sur le design de Narcopolis, mais pour autant nous restons persuadés qu’il pourra plaire !

D’autant que nous souhaitons saluer le parti pris des auteurs et illustrateurs, qui ont élaboré un design de jeu plutôt risqué, mais complètement abouti !

C’est à double tranchant, on aime ou on déteste, c’est en tout cas osé !

meeple vert

Qualité du matériel

C’est un plutôt bon point sur cet aspect là du jeu, qui possède un bon rapport qualité prix !

Narcopolis reste un jeu à un certain prix tout de même, mais cela ne nous a pas paru excessif quant au matériel présent à l’intérieur de la boite.

Le matériel est en effet de très bonne qualité, les cartes ne s’abîment pas et sont très bien imprimées. Les couleurs du jeu ressortent bien, et il propose quand même pas mal de matériel avec tous les jetons business en bois qui sont nombreux et bien peints !

Les billets sont également de bonne qualité, nous sommes moyennement fans de ce genre de moyen de paiement dans les jeux, mais cela correspond au thème, et ils sont en tout cas sympas en terme d’impression, et ne se déchirent pas.

Il en est de même pour le gobelet et les dés qui sont de taille idéale pour une bonne lisibilité.

De manière globale, Narcopolis nous a ainsi bien plu en terme de qualité du matériel, qui se révèle être en quantité, et qualitatif !

Il reste à un prix qui nécessite selon nous de se renseigner un tout petit peu avant d’aller l’acheter puisque ce n’est pas une boite ridicule mais bien un jeu de plateau tout de même ; pour autant aucune déception à l’ouverture de la boite qui fournit un très bon matériel de jeu !

Thème

Nous rentrons ici dans le vif du sujet, et hélas un sujet qui nous embête un petit peu.

Nous y reviendrons par la suite dans la mécanique, mais Narcopolis nous apparaît avec le recul comme un jeu vraiment paradoxal : il possède le thème d’un jeu d’ambiance, un peu beauf voir ringard par moments, mais tout en étant un vrai jeu de plateau dans lequel on peut réellement faire preuve de stratégie !

Vous l’avez compris, de manière purement subjective, nous n’adhérons pas au thème, qui n’est ni adapté à notre univers de joueurs, ni à notre type de jeux pour des soirées entre amis.

Pour autant ! C’est un jeu qui peut totalement convenir aux joueurs à qui ce type d’univers plaît, d’autant qu’il démontre quand même une bonne cohérence avec la mécanique !

Pour faire simple, le thème de Narcopolis vous demande d’incarner les Wiseguys, qui sont des personnes de la pire espèce qui se battent pour devenir le boss d’une ville…et surprise, la mécanique du jeu fait de vous le pire enfoiré possible si vous souhaitez gagner !

La cohérence thème / mécanique est donc plutôt bien.

Cela reste un thème de jeu tout sauf familial à notre sens, plutôt fait pour les soirées entre amis qui aiment les jeux à thème léger voire un peu lourdingue…et pourquoi pas !

Une nouvelle fois, cela ne nous plaît pas mais c’est osé et assumé !

Mécanique

Nous avons plusieurs choses à développer ici concernant les mécaniques de jeu de Narcopolis.

Le contrôle de territoires

La mécanique principale du jeu reste quand même dans le contrôle des territoires de la carte, puisqu’il faut se disputer chaque partie de la ville, afin d’y implanter des business, gagner des recettes plus conséquentes, et surtout valider des jobs afin de gagner en Réputation.

Cela suit un fil plutôt logique, simple à comprendre, et bien équilibré.

L’idée des combats est chouette également, d’un point de vue global cette partie de la mécanique est vraiment adaptée au thème, bien que très répétitive.

Le bluff

C’est finalement ce que nous avons préféré dans Narcopolis !

La mécanique du bluff et du lancer de dés pour les combats est vraiment sympa !

Elle donne vraiment une impression de jeu d’ambiance pour le coup, et dépend forcément des joueurs autour de la table et de leur état d’esprit, mais c’est un aspect que nous avons vraiment bien aimé.

Toutefois, nous y reviendrons mais c’est l’un des aspects qui nous a fait penser que Narcopolis ne peut être joué qu’à partir de 3 joueurs…

Stratégie et Corruption

Alors ! D’un point de vue objectif, le jeu est beaucoup trop « bourrin » pour nous de ce point de vue là….

Mais c’est vraiment parce que ce n’est pas notre univers, que cela nous rappelle trop le Monopoly, et que nous ne sommes vraiment pas fans des jeux autant dans la bagarre.

Pour autant, on adore les jeux d’enfoirés, mais là c’est un petit peu trop poussé par moments, renforçant une nouvelle fois ce côté jeu d’ambiance, puisque certaines cartes sont réellement faites pour détruire un adversaire !

Nous pensons sincèrement que plein de joueurs adoreront se tirer autant dans les pattes en jouant, mais attention tout de même à ne jouer qu’avec des bons joueurs, car c’est typiquement le type de jeu pouvant créer des disputes autour de la table…

D’un point de vue global stratégiquement parlant, on ne se sent jamais bloqué dans le jeu et il est plutôt facile d’avancer dans ses objectifs, ce qui est plutôt chouette et rend le jeu vraiment accessible.

Rejouabilité et Nombre de joueurs

En terme de rejouabilité, Narcopolis n’est pas trop mal, même si finalement la rejouabilité d’un jeu ne voudra pas forcément dire grand-chose, puisque si vous l’adorez vous enchaînerez les parties peu importe s’il est répétitif ou non…

Ici, répétitif, ça l’est oui, mais c’est un petit peu contrebalancé par les cartes Evènements, et surtout pat les choix des joueurs adverses, puisqu’en un tour, plein de choses peuvent se passer et contrer votre stratégie initiale !

Enfin, en terme de nombre de joueurs…pourquoi ce mode deux joueurs ?

C’est vraiment une phrase que nous disons rarement car nous adorons jouer à deux, mais là nous ne pouvons que penser que le mode deux joueurs de Narcopolis a été créé pour la forme, car il n’est vraiment pas très intéressant dans le fond…

Oui c’est dur, mais pourquoi s’embêter à créer des parties à deux, lorsque l’on parle d’un jeu de bluff, d’échanges d’argent et de coups bas ?

Narcopolis prend vraiment sens à 3 voire à 4 joueurs selon nous, puisqu’une nouvelle fois, l’esprit ici est vraiment au jeu d’ambiance.

Ainsi, en terme de mécanique globale, Narcopolis se révèle plutôt équilibré et cohérent.

Nous revenons toutefois encore à ce paradoxe : nous sommes face à un jeu dont le design, le thème et l’esprit sont parfaitement adaptés à un jeu d’ambiance, sans toutefois en être vraiment un puisqu’il demande une certaine stratégie ainsi que de la réflexion.

Trop « difficile » pour un jeu d’ambiance, trop léger pour un jeu de plateau, on se demande si Narcopolis saura vraiment trouver sa place… L’avenir nous le dira.

meeple vert

Simplicité des règles

Les règles sont dans l’ensemble bien expliquées, mais auraient pu être plus concises et claires par endroits.

Le jeu en lui-même est très simple, et très facilement explicable à d’autres joueurs, puisque cela reste un jeu de plateau très accessible (sans être familial à notre sens, en tout cas le thème ne l’est pas).

Mais certaines formulations de règles nous ont amenés à des moments à bloquer sur des détails de jeu infimes mais importants, ce qui peut bloquer la fluidité de jeux lors des premières parties.

Le mode deux joueurs est honnêtement vraiment trop compliqué pour ce qu’il apporte c’est à dire des contraintes, et pas très bien expliqué.

En revanche, le livret de règles est coloré, illustré, et lisible !

meeple vert

Mise en place / Rangement

Narcopolis s’effectue de manière plutôt fluide et simple à ce niveau là !

Ce n’est pas un jeu de plateau immense, donc la mise en place et le rangement ne sont pas fastidieux, et prennent simplement un peu de temps.

Par contre, oui nous sommes tatillons, mais les jetons business en bois…au début nous avons adoré l’idée des plateaux individuels creusés. Et finalement cela s’est avéré être une fausse bonne idée, car la mise en place de la première partie est rigolote, mais dès la deuxième, qu’est-ce que c’est long de trier tous ses jetons business et les mettre dans leurs cases !

C’est un détail oui, mais qui rend la mise en place personnelle un peu barbante, alors que cela partait d’une bonne idée initiale.

La mise en place globale s’effectue en revanche très simplement et de façon fluide.

Il en est de même pour le rangement du jeu, les pochons sont en nombre suffisant, et les jetons business sont plus simples à ranger qu’à installer !

Verdict ?

Ce que j’ai ❤️

  • La mécanique de bluff atypique et vraiment sympa !
  • Le matériel fourni, de super qualité et en quantité

Ce que j’ai 💔

  • Le thème et le design vraiment limites, et plus adaptés selon nous à des jeux d’ambiance…
  • Une mécanique sympa mais très répétitive
  • Le concept du « jeu d’enfoirés » poussé à son paroxysme (certains adoreront !)
  • Un jeu qui reste paradoxal, et trouve difficilement sa place dans une ludothèque classique.

Conclusion

Bon, en conclusion…

Il n’a pas été facile pour nous de commenter Narcopolis, car de façon très honnête, ce jeu de plateau ne nous a pas plu, mais nous le savions un peu à l’avance. Cependant nous imaginons parfaitement le travail et l’investissement qu’il a demandé.

Aussi, notre but était d’en faire une critique honnête tout en soulignant les bons aspects du jeu tout de même, et sans dire simplement « on n’aime pas ».

Malheureusement, Narcopolis possède des aspects sympas certes, mais des failles et des défauts tout de même trop conséquents à notre goût…

Au delà du thème, de l’univers, et du design du jeu qui ne sont vraiment pas à notre goût, ce qui est en soi subjectif, il réside un problème de fond, sur comment le jeu a été pensé, et pour quel type de joueurs…

C’est un jeu finalement innovant oui, mais est-ce qu’il a été pensé de la bonne manière, pas forcément à notre sens…

L’ensemble du jeu est fait pour être joué comme un jeu d’ambiance, jusqu’à un point dans le livret de règles qui indique que « des échanges et bon procédés peuvent être effectués entre les joueurs selon leurs propres règles »… mais c’est un trop gros jeu pour être considéré comme tel.

Il n’est pas très compliqué à prendre en main là n’est pas la question, mais pour en profiter pleinement, il nécessite un minimum de stratégie et de réflexion…

Nous voyons Narcopolis finalement plutôt comme une idée chouette entre amis qui a abouti certes, mais qui a donné un jeu que nous avons du mal à attribuer à un public, et à placer dans une ludothèque.

Le jeu présenté ici nous été gracieusement envoyé par l’éditeur. Mais comme aucun dessous de table n’a été observé, cet article sera aussi bien baigné d’une objective bienveillance comme il pourra se révéler plus acerbe.

Hello asso

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