[Test] Coatl. Le jeu de cartes – Explosion de couleurs pour le Quetzalcoatl
1-4 joueurs | Etienne Dubois-Roy, Pascale Brassard | ||
10 ans | Silly Jellie | ||
40 minutes | Synapses Games | ||
Placement, combinaisons, objectifs gestion de main | Asmodée | ||
Septembre 2022 | Aztèques, peinture, coatl | ||
15€90 chez | et dans |
Vous sentez-vous l’âme millénaire d’un peintre aztèque ?
Un temple en l’honneur des dieux vient d’être érigé au cœur de la cité aztèque. À l’intérieur des murs, des peintures de serpents à plumes décoreront ce lieu de culte pour rendre hommage aux dieux. Pour déterminer qui aura l’honneur d’orner les murs du temple, il faut élire le plus prestigieux peintre de Cóatl de l’empire.
Coatl : Du jeu de plateau au jeu de cartes
Coatl – Le Jeu de cartes – est la suite de Coatl – Le jeu de plateau – sorti en 2020 que j’ai vraiment bien apprécié. Dans ce dernier il y avait un petit air de marché à la Azul, de la manipulation de pièces colorées en plastique à assembler, du triturage de méninges pour arriver à constituer 3 serpents les mieux optimisés le tout pour répondre à des objectifs perso et communs. Du tout bon.
Vous pouvez relire l’article par içi => https://undecent.fr/2021/01/14/test-coatl-le-serpent-de-tenochticlan-nattend-que-vous-pour-vous-consacrer-grand-pretre/
Donc quand j’ai appris la sortie de la version cartes, j’ai été intrigué, curieux de voir ce que donnait cette version. La vidéo de la conception du jeu m’a convaincu d’en demander un exemplaire à Synapses Games.
Alors ? Mécanique simple, objectifs simples
Dans Coatl – Le jeu de cartes –, vous aurez à placer des cartes très très colorées. Objectif ? Peindre un coatl (mais un seul) afin de plaire aux dieux et impressionner le grand prêtre .. si vous réussissez ce qu’ils vous demandent. On n’est pas là pour rigoler, sinon vous finirez peut-être jeté dans le précipice, sait-on jamais.
Chaque tour, vous aurez à choisir deux cartes plumes (bicolores) de votre main (ou en prendre d’une rivière de cartes) et les placer – parfois en les faisant se chevaucher – de manière à construire votre coatl.
Très simple sur le principe. Mais votre temps sera limité par un nombre de tours (5 au total) ce qui vous fera faire des choix souvent cornéliens, les objectifs seront multiples – objectifs que vous pourrez d’ailleurs vous faire voler si vous ne les réalisez pas plusieurs fois -.
Coatl – Le jeu de cartes – vous demandera observation, adaptation, et planification à court terme.
Un jeu de Etienne Dubois-Roy et Pascale Brassard édité par les québécois de Synapses Games pour 1 à 4 joueurs de 10 ans et plus pour des parties de moins d’1/2 heure.
Partons donc – de nouveau – à la rencontre du serpent coatl.
Qu’est ce qu’on trouve dans la boîte ?
- 50 cartes Plumes (deux couleurs différentes séparées verticalement)
- 20 cartes Tête et 20 cartes Queue
- 40 cartes Prophétie
- 6 cartes Temple
- 4 cartes Niveaux
- 8 Marqueurs de tour dorés formant un Coatl
- 2 Livrets de règles (français et anglais)
Comment on joue à Coatl – Le jeu de cartes ?
On fait une mise en place rapide : distribution et/ou placement de cartes Plume, Temple, Objectif, Niveau et mise à disposition des segments du serpent Or permettant de compter les tours.
Le premier joueur gère le décompte des tours en ajoutant un segment au corps du Cóatl doré avant de jouer ses cartes. Il y aura 5 tours puisqu’il y aura 4 corps à assembler puis pour le dernier tour la tête et la queue du Coatl Or.
Tour de jeu
A son tour il suffit de jouer 2 cartes Plume parmi les 4 de sa main pour compléter son unique Coatl.
La toute première carte est placée devant soi sous sa carte Niveaux de manière à commencer son Coatl.
De quoi sont constituées les cartes Plume ? Chaque carte Plume est séparée verticalement en deux couleurs différentes parmi le rouge, bleu, noir, vert et jaune.
Les cartes Plume suivantes doivent être placées à droite ou gauche du Coatl – donc juxtaposées – ou de sorte à recouvrir la moitié d’une carte déjà posée. Précision de taille : On peut retourner la carte Plume comme bon nous semble en faisant une rotation à 180°.
Parfois notre main de 4 cartes ne nous satisfait pas. On peut donc ne pas vouloir jouer de carte de sa main ; dans ce cas on en défausse une carte de sa main pour en piocher une du sommet de la pioche et la jouer directement.
Les Prophéties avant tout
Le cœur du jeu sera de répondre au mieux aux cartes Prophétie : Suite au placement de sa carte Plume, il est possible que le motif créé satisfait une ou plusieurs cartes Prophétie chez soi … chez votre adversaire à votre droite ou votre gauche … ou parmi les 2 cartes Prophétie communes placée sur l’espace de jeu. Il faut donc être très observateur de tout ce qu’il y a sur la table.
Les cartes Prophétie font apparaître des objectifs – des séquences en fait – de différents types avec un motif inversé pour que celui qui est en face de vous puisse bien le comprendre … pour mieux vous la voler.
Exemples :
- une couleur précise à côté d’une autre ;
- une couleur à côté de toutes les couleurs sauf une ;
- une couleur qui entoure de chaque côté n’importe qu’elle autre couleur ; une couleur qui recouvre n’importe qu’elle autre couleur etc …
Les picto sont clairs. Et il y a 7 types d’objectifs différents.
1 Je peux d’abord faire progresser la ou les cartes Prophétie déjà posées autour de ma carte Niveaux. On compte le nombre de fois que son Coatl répond à l’exigence de la carte Prophétie et on la place sur le côté correspondant de sa carte Niveaux (1, 2 ou 3).
2 Je peux en prendre une une parmi les 2 cartes Prophétie communes.
3 Je peux en voler une (mais une seule) à mon voisin de gauche et de droite.
Exemple : sur ma carte Prophétie placé au niveau 0, j’ai rouge à gauche, jaune à droite, je vois deux fois cette séquence sur mon Coatl, je place ma carte prophétie sur le niveau 2.
Pour ne pas se faire voler sa carte Prophétie, si elle atteint le niveau 3, elle est retournée face cachée (il y a un cadenas et un pictogramme de carte retournée sur la carte Niveaux pour nous le rappeler). Elle est sauvée pour le reste de la partie.
Il y a donc une petite course au niveau 3 – limite un stop ou encore – puisqu’il rapporte plus de points de Prestige (niveau 1 : 2 points, niveau 2 : 5 points, niveau 3 : 6 points) et elle est verrouillée. Mais si on mise tout dessus, vous pouvez au final faire choux blanc si on vous la vole avant de la verrouiller.
On aura également un œil sur la carte Temple qui fixe deux objectifs communs de fin de partie :
1 Un objectif sur la taille de votre Coatl ou la présence de telle ou telle type de couleur. Exemples : que votre Coatl fasse 16 couleurs ou plus ; qu’il y ait au moins 3 segments consécutifs de la même couleur.
2 Un objectif sur le type de cartes Prophétie que vous avez autour de votre carte Niveaux. Exemple : Avoir les cartes Prophétie jaune, verte et rose.
=> Un objectif atteint : 3 points. 2 objectifs atteints : 7 points.
On reprend ensuite ensuite 2 cartes Plume de la pioche pour reconstituer sa main et on place de nouvelles cartes Prophétie dans la réserve.
Précision importante : si la pose d’une carte Plume nous fait perdre une séquence d’une de nos cartes Prophétie, on la baisse d’un niveau. Donc attention avant de la poser !
Fin de partie
Lorsque vous terminez la 4ème manche, La Tête et la Queue du Coatl doré sont ajoutées à son corps. La dernière manche peut commencer. On défausse ses cartes Plume puis on prend son paquet de cartes Tête et Queue. On choisit l’une de ses cartes Tête et l’une de ses cartes Queue que l’on ajoute à gauche et à droite du corps de son Coatl pour le terminer. Il est alors possible de répondre aux exigences des Prophéties et les faire progresser de niveau.
A l’issue de cette 5ème et dernière manche passez au décompte de points.
On compte les points de Prestige en fonction du niveau de ses cartes Prophétie récupérées + 3 points de Prestige si l’objectif de la carte Temple est réalisé ou +7 si les 2 objectifs sont atteints.
En cas d’égalité, celui qui a complété le plus d’objectifs de la carte Temple l’emporte. Sinon c’est celui qui a sécurisé le plus de cartes Prophétie gagne. Sinon, victoire partagée.
Design
Lorsqu’on regarde la boîte de Coatl le jeu de cartes, il est très difficile de demeurer indifférent. Les couleurs sont flamboyantes et attirent immédiatement l’œil.
Le travail d’illustration est remarquable surtout pour les cartes prophéties. Il y a un beau travail d’illustation fait par Sillyjellie.
Mais concernant l’éclat des couleur et le choix de ces couleurs très tranchées, les avis sont partagés. D’aucun trouveront que c’est un peu trop. C’est un parti pris assumé du côté de l’éditeur. Je trouve personnellement que le verso des cartes Plumes est chargé en voulant mélanger les couleurs principales présentes dans le jeu. C’est vite oublié puisqu’on ne joue pas vraiment avec ce côté des cartes.
L’iconographie est claire, lisible et de taille suffisante. J’ai apprécié que les cartes plumes soient conçues en ayant en tête qu’il y aura des joueurs assis en fasse de soi et que tout le monde n’a pas les mêmes aptitudes à transposer un motif présenté à l’envers. C’est un très bon point.
Qualité du matériel
Dans Coatl – le jeu de cartes –, c’est bien sûr sur les cartes Prophétie que portera toute notre attention. Et là rien à dire : les cartes sont toilées, assez épaisses, légèrement satinées. Il ne me semble pas que l’on ait besoin de les sleever.
Et surprise avec un coatl doré de la même qualité que ceux dans le jeu de plateau qui servira à compter les tours et comme variante dans le jeu de plateau.
La boîte est épaisse avec une cale carton solide au milieu.
Thème
On retrouve le même univers que dans Coatl lié au mysticisme qu’une population aztèque peut entretenir avec ses divinités et leur intermédiaire, à savoir le Grand Prêtre.
Ainsi, dans le jeu de cartes, tout tourne autour de 4 dieux bien différents, 4 dieux principaux de la mythologie aztèque. Deux de ces quatre dieux se retrouvaient déjà dans Cóatl (Huitzilopochtli en jaune et Quetzalcoatl en vert), auxquels s’ajoutent dans le jeu de cartes deux figures féminines – parité et mixité oblige – : Chalchiuitlicue (en bleu, la déesse de l’eau) et Xochiquetzal (en rose, la déesse de la beauté, de l’amour).
Leur présence au recto et verso des cartes Prophétie et la présence de cartes temples renforcent l’immersion thématique. Mais ça s’arrête là. La mécanique prend vite le dessus et comme il n’y a rien concernant des quelconques pouvoirs ou capacités divines, on se retrouve vite à faire des combinaisons de couleur sans aucune dimension artistique (nous ne sommes pas dans Arcimboldo à faire le plus beau serpent à plumes) ni immersion mystique. Et ce n’est pas si mal, j’aime les tritures méninges qui font oublier le bel emballage.
Mécanique
Les mécaniques mises en place dans Coatl le jeu de cartes sont simples et efficaces. Mais pas si simplistes si l’on veut optimiser notre scoring. Il faut bien observer toutes les cartes Prophétie visibles sur la table puisqu’elles pourront nous servir à tout moment : chez nous, chez les voisins direct et dans l’espace commun.
La création du serpent permet un type de collection sympathique considérant qu’il est possible de superposer des cartes pour optimiser les prophéties et même de les retourner en miroir horizontal pour donner encore plus de choix de pose.
La réalisation des prophéties sera le cœur du jeu avec le petit bonus de fin de partie lié à la carte Temple qui correspond à une sorte de Prophétie commune.
Une partie de Coatl le jeu de cartes se déroule vraiment rapidement. Quatre tours, c’est suffisant et peu à la fois. Et le dernier tour où l’on place la tête et la queue permet permet d’aboutir efficacement le concept qui a été développé. Chacun étant sur le même pied d’égalité avec les mêmes tête et queue, c’est à qui saura le mieux optimiser.
Simplicité des règles
Les règles sont vraiment claires et je dois dire que les exemples sont vraiment très bien explicités. Dommage que le rappel des cartes Temple et Prophétie soit au milieu du livret et pas à la fin (ou à part) comme on le fait le plus souvent.
Il est presque impossible d’avoir des interrogations après lue la règle. Il n’y a pas de retour à la règle sauf pour l’iconographie lors de la première partie.
On trouve à part un feuillet présentant la variante Coatl doré pour le jeu de plateau Coatl.
Un mode solo de 8 pages avec deux niveaux de difficulté pour ceux qui veulent se lancer des défis corsés.
Mise en place / Rangement
Une boite divisée en deux avec une cale séparatrice avec les petites cartes d’un côté, les grandes cartes de l’autre.
Le dos des cartes permet de bien les identifier.
La mise en place et le rangement sont rapides.
Verdict ?
Ce que j’ai ❤️
- Une règle simple, des parties rapides, des mécaniques simples, fluides et efficaces. Pour les amateurs du genre c’est parfait. A deux joueurs, la partie peut durer seulement 10-15 minutes et c’est plutôt tendu.
- Un nombre de tours fixe pour tout le monde. Pas de déclencheur de fin de partie. On ne peut pas se faire couper l’herbe sous le pied comme dans Coatl le jeu de plateau par exemple.
- De l’interaction, beaucoup plus que pour le jeu de plateau avec le vol des prophéties possible.
- L’aspect stimulant où l’on ne joue au final que 10 cartes en comptant la tête et la queue pour le dernier tour … mais comme on peut jouer les cartes dans les 2 sens, que l’on peut partiellement les recouvrir, qu’il y a un peu de hasard et donc d’adaptation, que l’on peut voler les cartes prophéties, qu’il faut gérer la montée de niveaux de ses prophéties … tout cela fait un puzzle game assez challengeant.
- Un jeu qui peut être plus complexe que ce qu’il projette. On pense que son ainé le jeu de plateau est plus compliqué, eh bien pas forcément.
- Une ambiance plutôt tranquille mais avec les vols de Prophéties qui pimentent le tout. Ce point me faisait un peu peur, mais il force à toujours s’adapter et à bien regarder autour de soi.
- Le calcul des points facile à faire.
- De belles illustrations surtout sur les cartes Prophétie et la flamboyance des couleurs …
Ce que j’ai 💔
- … la flamboyance des couleurs justement ! Car tout le monde n’aime pas cela. Le dos des cartes Plume est très chargé.
- La part de hasard qui ne plaira pas à tout le monde mais qui pour certains fait le coeur d’un jeu !
- Moins d‘interaction à deux joueurs et un peu trop à 3 joueurs car on peut se faire voler jusqu’à 2 cartes Prophétie lorsque revient votre tour de jeu. C’est un peu handicapant.
- Un petit jeu de cartes mais qui prend tout de même un peu de place sur la table surtout à 4 ; même si on fait principalement une ligne de cartes chacun et pas des collections verticales.
- Les joueurs initiés trouveront le jeu trop léger et trop court. Alors pourquoi ne pas avoir développé un mode de jeu long avec un ou deux points de règles un peu différents ?
- Attention, on a vite fait d’oublier de prendre une prophétie, de monter ou descendre un niveau si on n’a pas été assez attentif. Il faut être plutôt bon joueur pour être – ensemble – vigilent à ça.
- Une extension pour le jeu de plateau que tout le monde n’a pas. Un peu bizarre comme principe.
Conclusion
Cóatl – Le Jeu de cartes – est, comme son nom l’indique, une déclinaison en jeu de cartes du jeu de plateau Coatl avec un objectif similaire à son aîné : créer un Cóatl mais là, pas question de manipulation de pièces 3D en plastique à assembler ; il vous faudra, lors d’un tournoi de peinture, réaliser le Coatl répondant le mieux aux Prophéties du Grand Prêtre. Mais rassurez-vous, pas besoin d’avoir une âme d’artiste pour faire l’affaire, vous n’aurez qu’à utiliser des cartes de duos de couleur.
Coatl – Le jeu de cartes – est un puzzle game familial de placement de cartes et de combinaisons de séquences de couleurs répondant à des objectifs multiples. Il est accessible dès 9-10 ans pour des parties qui peuvent être très courtes.
J’ai vraiment bien aimé y jouer.
Rapidement mis en place, les règles sont simples et se transmettent en quelques minutes puisqu’à votre tour de jeu il vous faut simplement placer 2 cartes Plume par la gauche ou la droite de son corps en place afin de progressivement constituer votre coatl – avec de la superposition possible.
Il vous faudra faire en sorte que vos couleurs répondent aux cartes Prophéties et de celles de la carte Temple commune pour marquer le plus de points de Prestige.
Mais attention à bien maîtriser les quelques microrègles qui viennent pimenter le jeu : le vol des cartes Prophétie aux adversaires qui offre beaucoup d’interaction ou la perte des niveaux de Prophéties si on modifie des séquences de son coatl. Soyez attentifs !
Côté matériel, les cartes toilées sont de qualité et très colorées – peut-être trop pour certains. Mais c’est un choix assumé. Un petit coatl de 7 pièces dorées servira de compte tour et comme variante dans le jeu de plateau. Ingénieux, mais dispensable. Deux formats de cartes dont le petit format pour les cartes Plume, ce qui est bien pour ne pas prendre encore plus de place sur l’espace de jeu.
Il y a certains joueurs qui auront du mal à repérer les séquences de couleur sur leur coatl afin de satisfaire aux prophéties. C’est déjà le cas pour son aîné Coatl – le jeu de plateau -. Mais ce qui est bien pensé ce sont les aides à la lecture des couleurs qui sont rappelés sur le haut et le bas des cartes. Ainsi surtout sur les cartes Prophétie ceux qui ont un peu de mal dans la représentation de l’espace ne sont pas obligés de se faire un torticolis pour comprendre la séquence.
Enfin, le jeu est plus calculatoire qu’il n’y paraît ; pensez à avoir au moins un œil sur le jeu de vos adversaires. Mais les parties sont à mon goût un peu rapide (4 tours à 2 joueurs où il faut donc poser en tout 10 cartes c’est extrêmement court ; à 4 joueurs cela se tient mieux). Mais c’est c’est somme toute stimulant, challengeant comme tout bon puzzle game, et cela convient dans un format de jeu très familial, que l’on peut sortir en début d’après-midi ou de soirées jeux en attendant de faire un plus gros jeu. Et un jeu peu dispendieux que l’on peut emmener facilement partout !
Coatl – le jeu de cartes – ne pourra pas nier sa filiation avec son aîné mais en même temps il offre une expérience de jeu originale qui le démarque des puzzle games habituels. Une reprise de l’original mais avec une dimension moins tactile, plus minimaliste, une planification à court terme et une dynamique plus interactive qui manquait au jeu de plateau.
Une belle petite surprise nous venant d’outre atlantique.
D’autres avis :
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