J’aimais beaucoup jouer aux billes étant petit, j’aime bien, maintenant que je sui un vieux con, jouer à la pétanque, alors un jeu de pichenette, ça avait de quoi éveiller ma curiosité. Quand j’en ait parlé à Léandre Proust, l’ancien touche à tout de Lucky Duck, je lui avait fait part de ma crainte d’un jeu qui disperse ses pièces partout dans la maison. Il m’a assuré que ce n’est pas le cas ici, grâce au tapis de jeu. Nous verrons en fin d’article s’il avait raison. Dans Clash à l’Olympe, les joueurs incarnent des dieux qui vont tenter de convertir un maximum de péquenauds gens repartis sur 4 îles. D’un coup de pichenette divines, le joueurs vont envoyer leurs prophètes sur terre (ca doit quand même faire un peu mal) et mettre un peu le bazard dans l’évangélisation des adversaires. Le Dieu le plus malin et le plus agile gagnera à la fin en ayant remporté de plus de points de victoire (qui ressemblent à des pièces, ça rappelle un mauvais souvenir à base d’indulgences).